La trêve estivale est bien là, et le site est un peu moins actif ces derniers jours. Avant de poursuivre ce que j’ai commencé sur Rome et l’Ecosse, je vous propose donc de découvrir le champ de bataille de Waterloo en Belgique à travers quelques clichés. Toutes les informations pour vous y rendre se trouvent à la fin. Je mettrai les photos des musées une autre fois.

A Waterloo même, l’auberge où Wellington installa son quartier général. Elle fut bâtie en 1705 et contient aujourd’hui un musée. Dommage que la voiture ait été présente !

La ferme de la Belle-Alliance, où se retrouvèrent les vainqueurs après la bataille pour leur célèbre poignée de main.

Sur la route menant au quartier-général de Napoléon, la ferme dite « du Caillou ». On trouve cet émouvant monument dit « à l’aigle blessé ».

Vue du champ de bataille, la « morne plaine »de Victor Hugo est bien ondulée ! Mais il faut lire le passage en entier: « Waterloo ! Waterloo ! Waterloo ! morne plaine ! Comme une onde qui bout dans une urne trop pleine, Dans ton cirque de bois, de coteaux, de vallons, La pâle mort mêlait les sombres bataillons. D’un côté c’est l’Europe et de l’autre la France. »

La ferme dite « du Caillou », qui fut le tout dernier quartier-général de Napoléon.

Dans la cour de la ferme.

La Haie-Sainte (ou Haye-Sainte), l’une des fermes que fortifièrent les Britanniques et s’y retranchèrent.

Autre vue de la ferme où l’on s’écharpa voilà plus de deux cents ans. De nombreuses plaques alentour rappellent les unités présentes et leurs actions.

Le champ de bataille.

Dans le jardin de la ferme-château d’Hougoumont. Bâti à partir du 15e siècle, l’ensemble fut fortement tenu par les Britanniques et des milliers de Français y périrent pour tenter de s’en emparer. Ce monument a été érigé en leur mémoire, sur une initiative belge. L’aigle y était en bronze, mais a été enlevé par les Allemands en 1914.

La chapelle du château, détruit lors des combats. De nombreux blessés britanniques y furent entreposés et soignés.

Autre vue de la cour de la ferme.

Une photo des murs de la ferme, pour vous donner une idée de la difficulté à les prendre.

Vue du champ de bataille depuis la butte du Lion (voir plus bas).

Autre vue de la Haie-Sainte, depuis le haut de la butte du Lion.

Une volée de plus de 200 marches conduit au sommet. Le monument fut fait en l’honneur du Prince d’Orange, blessé à cet endroit (plus ou moins). En effet loin d’être un affrontement franco-britannique, la bataille vit aussi des Hanovriens, Belgo-Néerlandais, et bien sûr Prussiens, être engagés.

La butte et le bâtiment du panorama (photos à venir).
Les informations pour se rendre à Waterloo et visiter les différents sites que contient encore le champ de bataille:
[…] Andrieux représente ici, dans un tableau un peu moins connu, la charge des cuirassiers français à Waterloo. Le champ de bataille: https://antredustratege.com/2016/07/14/decouverte-du-champ-de-bataille-de-waterloo/ […]
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